fme_412578 - GUERRE DE 1870-1871 Médaille de souvenir du siège de Paris
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Precio : 120.00 €
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Tipo : Médaille de souvenir du siège de Paris
Fecha: 1871
Nombre del taller / ciudad: 75 - Paris
Metal: estaño
Diámetro: 37,5 mm
Eje de acuñación: 12 h.
Acuñador BARBERON
Peso: 24 g.
Canto: lisse
Comentarios sobre el estado de conservación:
Superbe médaille avec de beaux reliefs, un bel aspect et son brillant de frappe
Anverso
Titulatura del anverso: SOUVENIR DU SIÈGE DE PARIS // 1870-1871.
Descripción del anverso: La ville de Paris personnifier debout sur les barricades entourées de soldats.
Reverso
Titulatura del reverso: RÉPUBLIQUE FRANCAISE // JETON / DE / PRÉSENCE.
Descripción del reverso: Légende en 4 lignes.
Comentario
Le siège de Paris est un épisode de la guerre franco-allemande de 1870. Investie à partie du 17 septembre 1870, la ville est rapidement encerclée par les troupes allemandes, que la résistance parisienne n'empêche pas de progresser au Nord de la Loire durant l'automne 1870.
À aucun moment la défaite des armées françaises n'avait été imaginée. C'est donc dans la précipitation que la ville de Paris est mise en défense.
Au moment où le siège de Paris semble inéluctable, le gouvernement engage un immense effort de travaux de défense qui a fait, en quelques semaines, d'une ville jugée hors d'état de se défendre, une place véritablement imprenable. Le génie militaire, l'artillerie, et le ministère des travaux publics, auxiliaire du génie et de l'artillerie, y ont concouru.
L'enceinte continue est divisée en 9 secteurs, avec un certain nombre de fortifications qui ne sont pas terminées, comme sur les hauteurs de Montretout et de Châtillon puis abandonnées par les troupes en place. Ces abandons allaient coûter cher aux Français. En effet, c'est du plateau de Châtillon que les prussiens installeront leur grosse artillerie qui foudroiera les forts et la capitale.
Afin de contrarier, autant que possible, la marche des Prussiens sur Paris, huit régiments de cavalerie, commandés par les généraux Gustave Coste de Champéron et Jean-Henry Reyau sont dirigés sur Meaux avec ordre de harceler l'ennemi..
À aucun moment la défaite des armées françaises n'avait été imaginée. C'est donc dans la précipitation que la ville de Paris est mise en défense.
Au moment où le siège de Paris semble inéluctable, le gouvernement engage un immense effort de travaux de défense qui a fait, en quelques semaines, d'une ville jugée hors d'état de se défendre, une place véritablement imprenable. Le génie militaire, l'artillerie, et le ministère des travaux publics, auxiliaire du génie et de l'artillerie, y ont concouru.
L'enceinte continue est divisée en 9 secteurs, avec un certain nombre de fortifications qui ne sont pas terminées, comme sur les hauteurs de Montretout et de Châtillon puis abandonnées par les troupes en place. Ces abandons allaient coûter cher aux Français. En effet, c'est du plateau de Châtillon que les prussiens installeront leur grosse artillerie qui foudroiera les forts et la capitale.
Afin de contrarier, autant que possible, la marche des Prussiens sur Paris, huit régiments de cavalerie, commandés par les généraux Gustave Coste de Champéron et Jean-Henry Reyau sont dirigés sur Meaux avec ordre de harceler l'ennemi..