E-auction 278-199647 - fme_500713 - LITERATURE : WRITERS - POETS Médaille, Hommage à Malherbe

LITERATURE : WRITERS - POETS Médaille, Hommage à Malherbe MBC+

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Valoración :	65 €
Precio :	25 €
Oferta más alta :	30 €
Fecha de fin de la venta :	13 agosto 2018 18:43:00
participantes :	4 participantes

Tipo : Médaille, Hommage à Malherbe

Fecha: 1815

Nombre del taller / ciudad: 14 - Caen

Metal: cobre

Diámetro: 40,5 mm

Eje de acuñación: 12 h.

Acuñador GATTEAUX Jacques-Édouard (1788-1881)

Peso: 38,11 g.

Canto: lisse

Cuño: sans poinçon

Comentarios sobre el estado de conservación:

Exemplaire nettoyé à l’avers. Présence de coups et rayures

N° en los catálogos de referencia :

COLLIGNON 71

Anverso

Titulatura del anverso: A MALHERBE - NÉ À CAEN EN 1555 // LA VILLE DE CAEN / 1815.

Descripción del anverso: Buste habillé à gauche de Malherbe, signé sur le tranché du bras : E. GATTEAUX.

Reverso

Titulatura del reverso: ENFIN / MALHERBE / VINT.

Descripción del reverso: Légende en trois lignes sous une lyre dans une couronne de lauriers.

Comentario

Médaille signée E. GATTEAUX sous la base du buste.

François de Malherbe est un poète français, né à Caen vers 1555 et mort à Paris le 16 octobre 1628. Il est le fils de François, écuyer, seigneur de Digny, conseiller au bailliage et présidial de Caen, et de Louise Le Vallois.
Poète officiel de 1605 à 1628, son évolution de la magnificence à la sobriété traduit le passage du goût baroque au goût classique, amenant la poésie vers un grand dépouillement. Son influence a été considérable sur la poésie française. Bien qu'il n'ait pas écrit d'art poétique, une doctrine était tirée de ses œuvres, de ses annotations sur son exemplaire des poésies de Philippe Desportes et des remarques orales rapportées par ses contemporains. Ce sont notamment ses disciples François Maynard et Honorat de Bueil de Racan qui, suivant leur maître, créent le corpus louant « l'harmonie classique », qui prédominera pendant près d'un siècle.
Durant tout le XVIIe siècle, Malherbe est la référence majeure des théoriciens classiques. Dans son Art Poétique (1674), Nicolas Boileau le loue avec ferveur, commençant son éloge par le célèbre hémistiche « Enfin Malherbe vint »..