E-auction 355-269219 - fme_573766 - TERCERA REPUBLICA FRANCESA Médaille de la préfecture de Police
Usted debe firmar y ser un comprador aprobado para pujar, Inicia sesión para pujar. Las cuentas están sujetas a la aprobación y el proceso de aprobación se alcanzan dentro de las 48 horas. No espere hasta el día en una venta se cierra el registro.Al hacer una oferta en este artículo usted está firmando un contrato jurídicamente vinculante para comprar este artículo y haga clic en «oferta» constituye una aceptación de los términos de uso de e-auctions de cgb.fr.
La subasta debe ser colocado en euros enteros cantidades venta only.The se cerrará en el momento en la descripción del artículo, no se ejecutarán las ofertas recibidas en el sitio después de la hora de cierre. Veces Transmition pueden variar y las ofertas pueden ser rechazadas si espera a los últimos segundos. Para más información envie el FAQ.
SIN GASTOS PARA LOS COMPRADORES.
SIN GASTOS PARA LOS COMPRADORES.
Valoración : | 80 € |
Precio : | 60 € |
Oferta más alta : | 62 € |
Fecha de fin de la venta : | 03 febrero 2020 18:28:30 |
participantes : | 6 participantes |
Tipo : Médaille de la préfecture de Police
Fecha: n.d.
Nombre del taller / ciudad: 75 - Paris
Metal: plata
Diámetro: 36,5 mm
Eje de acuñación: 12 h.
Acuñador ROTY Oscar (1846-1911)
Peso: 20,76 g.
Canto: lisse + corne ARGENT
Cuño: corne ARGENT
Comentarios sobre el estado de conservación:
Patine grise hétérogène. Présence de coups et rayures
Anverso
Titulatura del anverso: RÉPUBLI - QUE FR - ANÇAISE.
Descripción del anverso: République casquée et cuirassée à gauche, signé : O. ROTY.
Reverso
Titulatura del reverso: PRÉFECTURE DE POLICE // COMMISSIONS / D’HYGIÈNE PUBLIQUE / ET DE SALUBRITÉ.
Descripción del reverso: Vue sur la façade de la Préfecture de la Police de Paris, sur l'île de la Cité.
Comentario
Le 36, quai des Orfèvres est le bâtiment où se trouvent le siège, l'état-major et les services communs de la Direction régionale de la police judiciaire de la Préfecture de police de Paris. Attenant au Palais de justice de la capitale, il est situé au numéro 36 du quai des Orfèvres, sur l'île de la Cité, face à la rive gauche, dans le 1er arrondissement.
Le bâtiment a été construit entre 1875 et 1880, sur les plans des architectes Émile Jacques Gilbert et son gendre Arthur-Stanislas Diet, à l'emplacement de l'ancien hôtel du premier président de la cour d'appel de Paris, qui fut détruit par l'incendie volontaire survenu lors de la Commune le 24 mai 1871, et qui détruisit également une bonne part du Palais de justice mitoyen. La préfecture de police de Paris a donc dû quitter son ancien emplacement, et fut installée dans de nouveaux locaux, par Jules Ferry, dans une partie des bâtiments du palais de Justice qui venait d'être reconstruit au 36, quai des Orfèvres.
La police s'y installe le 1er août 1913, sur un décret suivi d'un arrêt préfectoral émis par le préfet Célestin Hennion. À l'époque, les policiers se déplaçaient à cheval ou à vélo, et se faisaient narguer par la bande à Bonnot qui conduisait de puissante berlines ; ce qui motiva les forces de l'ordre à se doter de nouveaux moyens. La police judiciaire du Quai des Orfèvres, menée à ses débuts par le magistrat Henri Mouton, se donne alors pour mission la répression des crimes et des délits..
Le bâtiment a été construit entre 1875 et 1880, sur les plans des architectes Émile Jacques Gilbert et son gendre Arthur-Stanislas Diet, à l'emplacement de l'ancien hôtel du premier président de la cour d'appel de Paris, qui fut détruit par l'incendie volontaire survenu lors de la Commune le 24 mai 1871, et qui détruisit également une bonne part du Palais de justice mitoyen. La préfecture de police de Paris a donc dû quitter son ancien emplacement, et fut installée dans de nouveaux locaux, par Jules Ferry, dans une partie des bâtiments du palais de Justice qui venait d'être reconstruit au 36, quai des Orfèvres.
La police s'y installe le 1er août 1913, sur un décret suivi d'un arrêt préfectoral émis par le préfet Célestin Hennion. À l'époque, les policiers se déplaçaient à cheval ou à vélo, et se faisaient narguer par la bande à Bonnot qui conduisait de puissante berlines ; ce qui motiva les forces de l'ordre à se doter de nouveaux moyens. La police judiciaire du Quai des Orfèvres, menée à ses débuts par le magistrat Henri Mouton, se donne alors pour mission la répression des crimes et des délits..