v23_1681 - 10 cent. Anvers au double L, frappe de l’atelier de Wolschot 1814 Anvers F.130C/1 var.
MONNAIES 23 (2004)
Precio de inicio : 280.00 €
Valoración : 500.00 €
Precio realizado : 280.00 €
Número de ofertas : 1
Oferta más alta : 330.00 €
Precio de inicio : 280.00 €
Valoración : 500.00 €
Precio realizado : 280.00 €
Número de ofertas : 1
Oferta más alta : 330.00 €
Tipo : 10 cent. Anvers au double L, frappe de l’atelier de Wolschot
Fecha: 1814
Nombre del taller / ciudad: Anvers
Cantidad acuñada: ---
Metal: bronce
Diámetro: 34 mm
Eje de acuñación: 6 h.
Peso: 22,01 g.
Canto: cannelée
Grado de rareza: R2
Comentarios sobre el estado de conservación:
Très fines stries au revers dans le champ comme habituellement sur ces types. Frappe légèrement décentrée vers le haut. Belle patine marron
N° en los catálogos de referencia :
Anverso
Titulatura del anverso: ANVERS / 1814 (AVEC OU SANS POINT).
Descripción del anverso: Au centre deux L croisées en X dans une couronne formée de deux branches d'olivier nouées à leur base par un ruban.
Reverso
Titulatura del reverso: MONNAIE / OBSIDIONALE (AVEC OU SANS POINT).
Descripción del reverso: Au centre 10 / CENT (avec ou sans point).
Comentario
Sans signature ; pas de point après 1814 et après OBSIDIONALE ; chaque branche se termine par deux feuilles, celles de chaque branche nettement écartées de celles de l’autre.
Cet exemplaire comporte une tranche cannelée. Paul Bordeaux, “La médaille frappée en l’honneur de Pierre Lair à Anvers en 1814 et les monnaies obsidionales émises à la même époque”, Revue belge de numismatique, 1906, p.181-205 et 309-338 pensait que les ateliers de l’Arsenal “possédaient certainement une glissière-rabot, dénommée raquette en termes techniques du métier, permettant de faire rapidement à volonté des cannelures de ce genre sur certaines épreuves ou sur quelques-unes des pièces courantes” : extrait cité par Maurice Colaert en 2001 qui met en doute cette affirmation. Selon lui, ces cannelures sont postérieures et rien ne permet de croire que l’atelier de l’Arsenal possédait le matériel adéquat. Nous sommes plutôt favorable à l’hypothèse Bordeaux : en raison de légers replis sur les bords de cette tranche, nous sommes portés à croire que ce marquage de tranche est antérieur à la frappe. Ces replis de métal sont clairement au-dessus des cannelures. Notre exemplaire, de surcroît en très belle qualité, est très certainement un essai de tranche, procédé qui a été abandonné suite à son inutilité ou à la perte de temps induite.
Unsigned; no point after 1814 and after OBSIDIONALE; each branch ends with two leaves, those of each branch clearly separated from those of the other.
This example has a fluted edge. Paul Bordeaux, “The medal struck in honor of Pierre Lair in Antwerp in 1814 and the obsidional coins issued at the same time”, Revue belge de numismatique, 1906, p.. 181-205 and 309-338 thought that the Arsenal workshops “certainly possessed a plane-slide, called a racket in technical terms of the trade, allowing fluting of this type to be made quickly at will on certain proofs or on some of the current pieces”: extract quoted by Maurice Colaert in 2001 who casts doubt on this assertion. According to him, these grooves are later and there is nothing to suggest that the Arsenal workshop had the appropriate equipment.. We are rather in favour of the Bordeaux hypothesis: due to slight folds on the edges of this edge, we are led to believe that this edge marking is prior to the strike. These folds of metal are clearly above the grooves. Our example, which is also in very good quality, is most certainly a test slice, a process which was abandoned due to its uselessness or the loss of time involved.
Cet exemplaire comporte une tranche cannelée. Paul Bordeaux, “La médaille frappée en l’honneur de Pierre Lair à Anvers en 1814 et les monnaies obsidionales émises à la même époque”, Revue belge de numismatique, 1906, p.181-205 et 309-338 pensait que les ateliers de l’Arsenal “possédaient certainement une glissière-rabot, dénommée raquette en termes techniques du métier, permettant de faire rapidement à volonté des cannelures de ce genre sur certaines épreuves ou sur quelques-unes des pièces courantes” : extrait cité par Maurice Colaert en 2001 qui met en doute cette affirmation. Selon lui, ces cannelures sont postérieures et rien ne permet de croire que l’atelier de l’Arsenal possédait le matériel adéquat. Nous sommes plutôt favorable à l’hypothèse Bordeaux : en raison de légers replis sur les bords de cette tranche, nous sommes portés à croire que ce marquage de tranche est antérieur à la frappe. Ces replis de métal sont clairement au-dessus des cannelures. Notre exemplaire, de surcroît en très belle qualité, est très certainement un essai de tranche, procédé qui a été abandonné suite à son inutilité ou à la perte de temps induite.
Unsigned; no point after 1814 and after OBSIDIONALE; each branch ends with two leaves, those of each branch clearly separated from those of the other.
This example has a fluted edge. Paul Bordeaux, “The medal struck in honor of Pierre Lair in Antwerp in 1814 and the obsidional coins issued at the same time”, Revue belge de numismatique, 1906, p.. 181-205 and 309-338 thought that the Arsenal workshops “certainly possessed a plane-slide, called a racket in technical terms of the trade, allowing fluting of this type to be made quickly at will on certain proofs or on some of the current pieces”: extract quoted by Maurice Colaert in 2001 who casts doubt on this assertion. According to him, these grooves are later and there is nothing to suggest that the Arsenal workshop had the appropriate equipment.. We are rather in favour of the Bordeaux hypothesis: due to slight folds on the edges of this edge, we are led to believe that this edge marking is prior to the strike. These folds of metal are clearly above the grooves. Our example, which is also in very good quality, is most certainly a test slice, a process which was abandoned due to its uselessness or the loss of time involved.