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v10_0059 - 2 francs Cent jours, Frappe d'épreuve 1815 Paris F.256/1

2 francs Cent jours, Frappe d épreuve 1815  Paris F.256/1 FDC
MONNAIES 10 (2000)
Precio de inicio : 1 372.04 €
Valoración : 3 048.98 €
Precio realizado : 3 157.37 €
Tipo : 2 francs Cent jours, Frappe d'épreuve
Fecha: 1815
Nombre del taller / ciudad: Paris
Cantidad acuñada: 6777
Metal: plata
Milésimas de pureza : 900 ‰
Diámetro: 27 mm
Eje de acuñación: 6 h.
Peso: 10,25 g.
Canto: inscrite en creux * DIEU PROTEGE LA FRANCE
Grado de rareza: R3
Comentarios sobre el estado de conservación:
Frappe d’épreuve passionnante à étudier dont l’aspect permet de mieux comprendre l’origine du terme «flan bruni» : les champs de la monnaie sont littéralement noirs, comme laqués. Nous verrons au fur et à mesure de la description de la monnaie comment l’état de frappe est conforme aux canons de «la frappe d’épreuve». La frappe est parfaite avec un infime décentrement à l’avers et au revers qui crée sur le listel une minuscule ligne de rebord vers l’extérieur. Là encore, on peut être pratiquement certain que les balanciers ne pouvaient pas être réglés plus précisément. Le flan utilisé n’a pas été parfaitement laminé et on constate la présence de minuscules trous dans le métal, présents à l’origine avant la frappe. Là encore, on peut supposer que le contrôle qualité ne se faisant pas à la loupe, les irrégularités en question (l’une sous le O de la signature Tiolier, l’autre à côté du coq de De L’Espine) étant difficilement visibles sans une loupe puissante, ne furent pas considérées comme suffisamment visibles pour entrainer le rejet du flan, même pour cette frappe d’épreuve. On constate à ce propos avec une surprise certaine que l’exemplaire illustré par Victor Guilloteau (N° 2383) comme flan bruni de la 2 francs 1815 a lui aussi un trou mais lui extrêmement visible sur le cou, et semble de plus usé. On ne peut donc que déplorer une fois de plus que la Collection Guilloteau n’ait pas fait l’objet de photographies avant sa dispersion. Le coin de droit, neuf et à fleur, a été traité d’une manière très particulière : le visage de l’empereur, et non les légendes, présente une granulation manifestement artificielle, probablement obtenue par sablage du creux du coin de l’effigie. Ce sablage est beaucoup plus grossier que celui que l’on voit sur les frappes d’épreuves mates des années 1900. Il est possible que les grains de sable aient été écrasés directement sur la surface en creux de l’effigie avec un minuscule pilon. Je n’ai aucun souvenir d’avoir déjà vu ce traitement sur une monnaie de cette époque. Le coin de revers ne présente pas cette même surface mais, comme les lettres de la légende du droit, un aspect de léger velours ; nous ignorons comment il a été obtenu, le coin étant obligatoirement neuf. On remarque d’ailleurs à la loupe x10 des stries de polissage dans le champ du revers uniquement, en axe latéral, mais pas toujours régulières. Il est facile de constater que ces stries sont antérieures à la frappe car l’une d’entre elles passe par exemple sous le 2 de la valeur faciale. Il est probable que le polissage de l’avers fut extrêmement soigné mais que celui du revers fut plus expéditif. Encore une fois, nous découvrons à la loupe de nombreux détails qui ont échappé aux ouvriers monnayeurs de l’époque. La patine, gris-noir foncé dans les champs (sauf dans la zone de la valeur faciale et date où elle semble avoir été allégée) semble avoir été obtenue à l’atelier monétaire par un procédé artificiel restant à déterminer (brunissoir ?) Les reliefs sont exempts de cette patine et celle qui les couvre semble être une patine de médaillier avec une dominante gris-rouge très clair, particulièrement nette, comme d’habitude, dans la zone des lettres où elle apparait plus visible en lumière réfléchie. Le contraste champs/reliefs est bien entendu à son maximum et l’impact visuel extraordinaire. Nous ignorons malheureusement à qui cet exemplaire fut offert mais il est certain que Napoléon dut lui apparaître sur cette monnaie plus «impérial» que jamais, malgré la difficulté des temps. La tranche est régulièrement insculpée, sans une profondeur exagérée, presque sans aucune conséquence sur le listel. Elle est très bien centrée. Aucun défaut visible à l’œil nu, la loupe révèle un affaiblissement de la surface d’origine sur les lauriers de la couronne de l’effigie et sur certaines feuilles de ceux du revers, ainsi que quelques très légères traces de cheveux dans la patine du droit. Un exemplaire de musée

Anverso


Titulatura del anverso: NAPOLEON EMPEREUR (PETIT LOSANGE).
Descripción del anverso: Tête laurée de Napoléon Ier à droite, l'un des rubans descendant derrière la nuque, l'autre revenant sur le cou ; au-dessous Tiolier en cursif.

Reverso


Titulatura del reverso: EMPIRE FRANÇAIS (PETIT LOSANGE) / (COQ) 1815 (PETIT LOSANGE) A.
Descripción del reverso: 2 / FRANCS (petit losange), en deux lignes, dans une couronne composée de deux branches de laurier, nouées à leur base par un ruban.

Comentario


Cet exemplaire est celui de la Collection Idéale. Il illustre le type dans LE FRANC III en couleurs.

Historial


CIEN DIAS

(20/03/1815-22/06/1815)

El 6 de abril de 1814, Napoleón I firmó su abdicación.. Por el Tratado de Fontainebleau del 11 de abril, los aliados lo reconocieron como emperador con la soberanía de la isla de Elba y una renta de dos millones.. También otorgan a Marie-Louise la soberanía de los Ducados de Parma, Piacenza y Guastalla. Napoleón se despide de su guardia el 20 de abril y llega a la isla de Elba el 4 de mayo de 1814 donde se dedicará a la administración de su “imperio”. Preocupado por el Congreso de Viena y la presencia del Príncipe Imperial en Schönbrunn, ayudado por partisanos, Napoleón desembarcó en Golfe-Juan el 1 de marzo de 1815 y subió a París por el camino de los Alpes.. Reúne a las tropas y el 21 de marzo llega triunfante a las Tullerías, es el comienzo de los Cien Días.. Rápidamente publicó un Acta adicional a las Constituciones del Imperio para reconectar con el ideal revolucionario.. Contra él, los poderes reunidos en el Congreso de Viena forman una nueva coalición. En junio, Napoleón derrotó a los prusianos en Ligny el 16 pero perdió definitivamente en Waterloo el 18.. De vuelta en París, firmó su segunda abdicación el 22 de junio a favor de su hijo, reconocido por las Cámaras como Napoleón II.. Es el final de cien días. Napoleón se rindió a los ingleses el 15 de julio, quienes decidieron deportarlo a la isla de Santa Elena donde desembarcó en octubre.. Dictó sus memorias y la historia de sus campañas antes de morir en 1821 a la edad de cincuenta y dos años..

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