bpv_154384 - ETRUSCILLA Tétradrachme syro-phénicien
No disponible.
Artículo vendido en nuestra tienda (2014)
Precio : 280.00 €
Artículo vendido en nuestra tienda (2014)
Precio : 280.00 €
Tipo : Tétradrachme syro-phénicien
Fecha: 250
Nombre del taller / ciudad: Antioche, Syrie, Séleucie et Piérie
Metal: vellón
Diámetro: 28 mm
Eje de acuñación: 12 h.
Peso: 12,24 g.
Grado de rareza: R2
Comentarios sobre el estado de conservación:
Très légère usure, parfait centrage et frappe, patine sombre
N° en los catálogos de referencia :
Pedigrí:
Notre exemplaire, qui est celui qui illustre le type dans le Prieur, est le 0620_004 de la base TSP, il provient de la Trouvaille dite de Voegtli I de mars 1993
Anverso
Descripción del anverso: Buste drapé et diadémé d’Herennia Etruscilla à droite, vu de trois quarts en avant, posé sur un croissant lunaire (L15), quatre globules sous le buste.
Leyenda del anverso: ERENNIA TROUSKILLA SEB.
Traducción del anverso: (L’empereur césar Caius Messius Quintus Trajan Dèce auguste).
Reverso
Titulatura del reverso: S C À L’EXERGUE.
Descripción del reverso: Aigle debout à droite sur une palme, les ailes déployées, tête à droite et queue à gauche, tenant une couronne feuillée dans son bec.
Leyenda del reverso: DHMARC EX OUSIAS.
Traducción del reverso: (Revêtu de la puissance tribunitienne / avec l’accord du Sénat d’Antioche).
Comentario
Les émissions d’Herennia Etruscilla se divisent en deux légendes, l’une avec un E initial à Etruscilla, l’autre sans.
On peut penser avec certitude que ces deux légendes séparent effectivement deux émissions car les deux légendes se retrouvent dans toutes les officines et, plus important, les styles de portrait sont manifestement de deux graveurs différents.
La légende avec le E initial est la première, et cette émission date donc de 249/250, celle sans le E étant la seconde, donc de 250/251. Nous le savons car il existe pour Etruscilla, émission sans le E, quelques exemplaires de la rarissime émission avec aigle à gauche, tête et queue à droite, point entre les pattes, que l’on ne connaît pour Trajan Dèce que pour sa deuxième émission. Sauf découverte de nouveaux exemplaires inédits, la chronologie semble bien assurée.
La coiffure de l’Augusta suit les canons de la beauté de l’époque et ressemble à celle d’Otacilie, avec des cheveux nattés en rangs serrés se terminant par une tresse qui est relevée derrière la tête. Le diadème semble de rigueur.
On note que les sigma sont gravés en C.
Dans la base TSP maintenue par Michel Prieur, dix exemplaires sont maintenant répertoriés pour ce type dont deux en musées à Paris et à l’ANS.
On peut penser avec certitude que ces deux légendes séparent effectivement deux émissions car les deux légendes se retrouvent dans toutes les officines et, plus important, les styles de portrait sont manifestement de deux graveurs différents.
La légende avec le E initial est la première, et cette émission date donc de 249/250, celle sans le E étant la seconde, donc de 250/251. Nous le savons car il existe pour Etruscilla, émission sans le E, quelques exemplaires de la rarissime émission avec aigle à gauche, tête et queue à droite, point entre les pattes, que l’on ne connaît pour Trajan Dèce que pour sa deuxième émission. Sauf découverte de nouveaux exemplaires inédits, la chronologie semble bien assurée.
La coiffure de l’Augusta suit les canons de la beauté de l’époque et ressemble à celle d’Otacilie, avec des cheveux nattés en rangs serrés se terminant par une tresse qui est relevée derrière la tête. Le diadème semble de rigueur.
On note que les sigma sont gravés en C.
Dans la base TSP maintenue par Michel Prieur, dix exemplaires sont maintenant répertoriés pour ce type dont deux en musées à Paris et à l’ANS.