E-auction 340-255102 - fme_553791 - LUIS FELIPE I Médaille pour la mort de Ferdinand Philippe, Duc d’Orléans
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Valoración : | 35 € |
Precio : | 9 € |
Oferta más alta : | 11 € |
Fecha de fin de la venta : | 21 octubre 2019 18:34:00 |
participantes : | 4 participantes |
Tipo : Médaille pour la mort de Ferdinand Philippe, Duc d’Orléans
Fecha: 1842
Nombre del taller / ciudad: 92 - Neuilly
Metal: cobre amarillo
Diámetro: 38,5 mm
Eje de acuñación: 12 h.
Peso: 21,68 g.
Canto: lisse
Cuño: sans poinçon
Comentarios sobre el estado de conservación:
Patine hétérogène avec des taches et concrétions à l’avers
N° en los catálogos de referencia :
Anverso
Titulatura del anverso: (ÉTOILE) FND PPE DUC D’ORLÉANS NÉ A PALERME AN 1810 MORT A NEUILLY AN 1842.
Descripción del anverso: Tête du duc d’Orléans dans une couronne de chêne et de laurier.
Reverso
Titulatura del reverso: LA FRANCE LUI DONNE LA PALME / ET L’UNIVERS LE REGRETTE, (DOUBLE LÉGENDE SUPÉRIEURE) // LE 13 JUILLET 1842.
Descripción del reverso: Tombeau entre deux statues ; l’inscription ANVERS ALGER sur le tombeau.
Comentario
Ferdinand Philippe Louis Charles Éric Rosalino d'Orléans, né le 3 septembre 1810 à Palerme et mort le 13 juillet 1842 à Neuilly-sur-Seine, duc de Chartres puis (1830) duc d’Orléans et prince royal de France, est le fils aîné de Louis-Philippe Ier, roi des Français et de Marie Amélie de Bourbon, princesse des Deux-Siciles.
En 1831, le duc d’Orléans part avec son jeune frère le duc de Nemours, pour aller faire ses premières armes sous les ordres du maréchal Gérard ; cette campagne ne fut guère qu’une promenade militaire. Entrés en Belgique en 1831, les princes s’empressent de visiter la plaine de Jemappes, où leur père a combattu en 1792.
L’année suivante, le duc d’Orléans rentre en Belgique avec le commandement de la brigade d’avant-garde de l'armée du Nord. Le 20 novembre 1832, il est devant la citadelle d'Anvers ; il commande la tranchée dans la nuit du 29 au 30 novembre. À l’attaque meurtrière de la lunette Saint-Laurent, il s'élance sur le parapet au milieu d’une grêle de projectiles de toute espèce pour diriger l’action et stimuler le courage des soldats.
En 1835, lorsque le maréchal Clauzel est renvoyé en Algérie comme gouverneur général, le duc d’Orléans demande à son père comme une faveur de l'accompagner pour combattre l’émir Abd El-Kader. Il participe avec l’armée de Clauzel à la bataille de l'Habrah, où il est blessé, à la prise de Mascara en décembre 1835, puis de Tlemcen en janvier 1836. Il rentre à Paris tout auréolé de gloire militaire..
En 1831, le duc d’Orléans part avec son jeune frère le duc de Nemours, pour aller faire ses premières armes sous les ordres du maréchal Gérard ; cette campagne ne fut guère qu’une promenade militaire. Entrés en Belgique en 1831, les princes s’empressent de visiter la plaine de Jemappes, où leur père a combattu en 1792.
L’année suivante, le duc d’Orléans rentre en Belgique avec le commandement de la brigade d’avant-garde de l'armée du Nord. Le 20 novembre 1832, il est devant la citadelle d'Anvers ; il commande la tranchée dans la nuit du 29 au 30 novembre. À l’attaque meurtrière de la lunette Saint-Laurent, il s'élance sur le parapet au milieu d’une grêle de projectiles de toute espèce pour diriger l’action et stimuler le courage des soldats.
En 1835, lorsque le maréchal Clauzel est renvoyé en Algérie comme gouverneur général, le duc d’Orléans demande à son père comme une faveur de l'accompagner pour combattre l’émir Abd El-Kader. Il participe avec l’armée de Clauzel à la bataille de l'Habrah, où il est blessé, à la prise de Mascara en décembre 1835, puis de Tlemcen en janvier 1836. Il rentre à Paris tout auréolé de gloire militaire..