E-auction 99-52564 - fjt_268354 - MUSIQUE, ARTS ET CONCERTS Concours de poésie 1890
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Valoración : | 35 € |
Precio : | 11 € |
Oferta más alta : | 11 € |
Fecha de fin de la venta : | 09 marzo 2015 18:45:00 |
participantes : | 4 participantes |
Tipo : Concours de poésie
Fecha: 1890
Metal: cobre rojo
Diámetro: 32,50 mm
Eje de acuñación: 12 h.
Canto: lisse
Cuño: (corne) CUIVRE
Grado de rareza: R2
Anverso
Titulatura del anverso: REPUBLIQUE FRANÇAISE.
Descripción del anverso: Tête de Marianne agricole à droite.
Reverso
Titulatura del reverso: CONCOURS POÉTIQUES DU MIDI DE LA FRANCE FONDÉS PAR EVARISTE CARRANCE / INSCULPÉ AU CENTRE À MR J. LAMBERT 1890.
Descripción del reverso: dans une couronne de lauriers.
Comentario
Né à Agen, où il est réputé avoir fondé, d'après l'historiographie locale, le Buffet de la Gare, Evariste Carrance est d'abord un polygraphe, auteur d'une œuvre abondante, et promoteur de la littérature : il fonde et anime pendant 23 ans les Concours poétiques de Bordeaux, dont les contributions sont publiées à compte d'auteur sous le titre Littérature contemporaine.
C'est dans le deuxième tome (janvier 1869) que fut imprimé le Chant premier des Chants de Maldoror, qu'Isidore Ducasse avait envoyé anonymement, sans doute après avoir lu l'annonce du concours dans la Revue populaire en septembre 1868 (il avait reçu le second prix du concours). Il s'agit d'une version remaniée par rapport à l'édition à compte d'auteurs imprimée chez Ballitout à l'automne 1868.
A titre personnel, Evariste Carrance a laissé une centaine d'œuvres, parmi lesquelles des comédies (Vingt minutes d'arrêt... Buffet!), des poèmes (La Prostituée), des romans (Les mystères d'Agen), ainsi que des chansons maçonniques. Pour sa biographie, voir http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89variste_Carrance . On peut supposer qu’il était franc-maçon.
C'est dans le deuxième tome (janvier 1869) que fut imprimé le Chant premier des Chants de Maldoror, qu'Isidore Ducasse avait envoyé anonymement, sans doute après avoir lu l'annonce du concours dans la Revue populaire en septembre 1868 (il avait reçu le second prix du concours). Il s'agit d'une version remaniée par rapport à l'édition à compte d'auteurs imprimée chez Ballitout à l'automne 1868.
A titre personnel, Evariste Carrance a laissé une centaine d'œuvres, parmi lesquelles des comédies (Vingt minutes d'arrêt... Buffet!), des poèmes (La Prostituée), des romans (Les mystères d'Agen), ainsi que des chansons maçonniques. Pour sa biographie, voir http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89variste_Carrance . On peut supposer qu’il était franc-maçon.