MONNAIES 32 (2007)
Precio de inicio : 280.00 €
Valoración : 750.00 €
Precio realizado : 310.00 €
Número de ofertas : 2
Oferta más alta : 310.00 €
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Tipo : Obole (ou demi-denier) à la croix ancrée
Fecha: Début VIIIe siècle
Fecha: Début VIIIe siècle
Nombre del taller / ciudad: Paris
Metal: plata
Diámetro: 11 mm
Eje de acuñación: 11 h.
Peso: 0,58 g.
Grado de rareza: R3
Comentarios sobre el estado de conservación:
Monnaie coupée en deux, mais totalement identifiable. Bon centrage de la monnaie avec les types complets et bien centrés. Métal finement patiné peut-être un peu granuleux
N° en los catálogos de referencia :
Anverso
Titulatura del anverso: [PARISI]VS.
Descripción del anverso: Buste diadémé à droite, une sorte de croisette sur le front ; légende autour.
Reverso
Titulatura del reverso: ANÉPIGRAPHE.
Descripción del reverso: Croix ancrée, les bras munis d’un pendant à leur extrémité ; grènetis entre des annelets à 3, 6 et 9 heures et une croisette à midi.
Comentario
Si les monnaies coupées sont bien attestées à l'époque romaine et à l'époque gauloises, tout le monde pensera aux as de Nîmes ou aux potins, ce phénomène est peu ou pas attesté à l'époque mérovingienne. Le monnayage est pourtant restreint et principalement connu par des triens en ou or des deniers en argent. Le monnayage de bronze est excessivement rare et l'étude des oboles semble n'être un phénomène que très récent. Dans ce contexte et face à la rareté des monnaies divisionnaires, il est presque logique que la population ou les marchands aient eu recours à la découpe des monnaies comme celle proposée ici.
Cette obole a été obtenue en découpant un denier de Paris, vraisemblablement au burin, en ayant soin que la découpe soit exactement sur le bras verticale de la croix ancrée du revers. Le poids de 0,58 grammes correspond à un denier de 1,16 gramme ce qui coïncide avec le poids habituellement observé pour les deniers de ce type.
If cut coins are well attested in the Roman and Gallic periods, everyone will think of the aces of Nîmes or the potins, this phenomenon is little or not attested in the Merovingian period. Coinage is however limited and mainly known by triens in gold or silver deniers. Bronze coinage is excessively rare and the study of obols seems to be a very recent phenomenon. In this context and given the rarity of fractional coins, it is almost logical that the population or the merchants resorted to cutting coins like the one proposed here. This obol was obtained by cutting a denier of Paris, probably with a burin, taking care that the cut is exactly on the vertical arm of the anchored cross on the reverse. The weight of 0.58 grams corresponds to a denier of 1.16 grams which coincides with the weight usually observed for deniers of this type
Cette obole a été obtenue en découpant un denier de Paris, vraisemblablement au burin, en ayant soin que la découpe soit exactement sur le bras verticale de la croix ancrée du revers. Le poids de 0,58 grammes correspond à un denier de 1,16 gramme ce qui coïncide avec le poids habituellement observé pour les deniers de ce type.
If cut coins are well attested in the Roman and Gallic periods, everyone will think of the aces of Nîmes or the potins, this phenomenon is little or not attested in the Merovingian period. Coinage is however limited and mainly known by triens in gold or silver deniers. Bronze coinage is excessively rare and the study of obols seems to be a very recent phenomenon. In this context and given the rarity of fractional coins, it is almost logical that the population or the merchants resorted to cutting coins like the one proposed here. This obol was obtained by cutting a denier of Paris, probably with a burin, taking care that the cut is exactly on the vertical arm of the anchored cross on the reverse. The weight of 0.58 grams corresponds to a denier of 1.16 grams which coincides with the weight usually observed for deniers of this type