v35_0762 - Faux de 20 francs or Napoléon III, tête nue en platine 1866 Strasbourg F.531/ var.
MONNAIES 35 (2008)
Precio de inicio : 500.00 €
Valoración : 750.00 €
Precio realizado : 500.00 €
Precio de inicio : 500.00 €
Valoración : 750.00 €
Precio realizado : 500.00 €
Tipo : Faux de 20 francs or Napoléon III, tête nue en platine
Fecha: 1866
Nombre del taller / ciudad: Strasbourg
Cantidad acuñada: ---
Metal: platino
Milésimas de pureza : 900 ‰
Diámetro: 21,45 mm
Eje de acuñación: 6 h.
Peso: 6,08 g.
Canto: en relief : *****DIEU*PROTEGE*LA*FRANCE
Grado de rareza: R3
Comentarios sobre el estado de conservación:
Usure régulière de circulation sur l’ensemble des reliefs. Très bel exemplaire pour ce type souvent très mal frappé et conservé. La pièce conserve la quasi totalité de sa dorure puisqu’elle manque essentiellement sur le front, sur la joue, sur quelques mèches des cheveux et sur les listels. Bon centrage et belle frappe
N° en los catálogos de referencia :
Anverso
Titulatura del anverso: NAPOLEON III - EMPEREUR.
Descripción del anverso: Tête nue de Napoléon III à droite ; au-dessous (différent) BARRE (différent).
Reverso
Titulatura del reverso: EMPIRE FRANÇAIS// 20/ FRANCS/ 1866// BB.
Descripción del reverso: Valeur faciale, en deux lignes dans le champ, au-dessus du millésime, dans une couronne composée de deux branches de laurier nouées en bas ; sous le nœud, la lettre d'atelier.
Comentario
Le son de la pièce sur le marbre est tout à fait crédible, le travail de graveur est remarquable ce qui est avéré par l’usure de circulation. La tranche est parfaitement lisible. La particularité de ce faux vient du fait que le millésime 1866 n’existe pas pour le type F.531. En effet, les dernières pièces de 20 francs Napoléon III tête nue ont été frappées en 1860. Le millésime 1866 correspond au type à la tête laurée (F.532). Ce faux est à rapprocher de celui de 20 francs Napoléon III tête laurée 1854 BB commentée dans le Bulletin Numismatique n° 21. Comme le 20 francs Coq de 1915 publié en son temps dans le Forum des Amis du Franc, on constate que les faussaires avaient une étonnante insouciance des millésimes « authentiques » d’autant plus surprenante qu’un faux monnayeur de l’époque écopait du bagne, millésimes « vrais » ou « faux » : l’erreur est donc involontaire et la monnaie d’autant plus sympathique à collectionner !.